Les 3 commandements du Plan de Reprise d’Activité

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En théorie, vous jugez nécessaire d’avoir un Plan de Reprise d’Activité ; en pratique, vous hésitez en raison de l'investissement initial. Le jeu en vaut pourtant la chandelle.

Demain, j’investis ? Le Plan de Reprise d’Activité fait partie des bonnes pratiques dont on sait bien qu’elles sont incontournables, et qu’on a pourtant tendance à remettre à plus tard. Jusqu’au jour où… il est trop tard.

Le système est comparable à tous les secteurs de l’assurance – voiture, habitation, responsabilité civile… Cette dernière ne coûte cher que si l’on en n’a pas besoin. La même réflexion s’applique au Plan de Reprise d’Activité (PRA). Pourquoi investir du temps et de l’argent pour un risque qui n’est que potentiel ?

Tout simplement parce que ce risque pourrait mettre en cause la viabilité de votre entreprise. En adoptant les 3 commandements du PRA ci-dessous, vous vous assurez contre un arrêt partiel ou définitif de l’activité de votre entreprise, la perte de vos clients ainsi qu’un coût financier important.

 

1. Tout problème tu éviteras

Votre entreprise est exposée tous les jours à des situations qui peuvent très vite mettre en péril votre système d’information et occasionner des arrêts plus ou moins long de votre activité. C’est le cas de problèmes dits « innocents » comme une configuration technologique majeure qui a mal tournée ou une mauvaise ligne de code.

Vous pouvez aussi être victime d’un incident technique (fuite de gaz, une panne d’eau, une panne de courant) qui pourrait rendre vos locaux inaccessibles ou pire les détruire dans le cas d’un incendie, d’une inondation, d’une tempête… A l’image du passage des ouragans Harvey et Irma, les ravages occasionnés sont dévastateurs et les pertes colossales.

Rappelez-vous qu’une entreprise sur 2 ayant subie une perte majeure de ses données a fait faillite dans les 12 mois suivants.

2. Au lieu de guérir, tu préviendras

Aujourd’hui la simple sauvegarde ne suffit plus. Un PRA permet, en cas de sinistre, de basculer sur un système de relève capable de prendre en charge les besoins informatiques nécessaires à la survie de votre entreprise. Il assure la reconstruction de votre infrastructure et la remise en route de vos applications critiques supportant l’activité de votre organisation. Vous pouvez ainsi rester opérationnel quelle que soit la situation.

En investissant dans la planification des ressources informatiques et humaines en amont, vous minimisez les d’arrêts de votre activité et prévenez toute perte de vos données qui constituent 70% de la valeur de votre entreprise.

Mieux vaut prévenir que guérir, vous garderez ainsi la fidélité de vos clients et de vos fournisseurs en leur garantissant un retour rapide à la normale.

3. Le cloud tu adopteras

Un PRA est un centre de coût élevé, tant d’un point de vue hardware que logistique. Second constat : votre DSI manque bien souvent de temps pour gérer l’infrastructure. Il est désormais possible d’externaliser une partie des ressources techniques nécessaires à la mise en place d’un PRA grâce au cloud. Vous disposerez ainsi d’une infrastructure évolutive vous permettant de disposer de vos données et de vos applications à tout instant.

Des solutions, comme celle proposée par Konica Minolta, permettent de s’appuyer sur les ressources de Microsoft AZURE pour répliquer en temps réel les machines virtuelles de votre site principal vers un cloud sécurisé. En cas de sinistre impactant l’activité informatique, vous pouvez alors accéder à vos données répliquées dans le cloud pour continuer votre activité, dans l’attente d’un retour en conditions opérationnelles sur votre site.

Autres avantages : vous disposez d’une visibilité réelle sur les coûts mensuel et annuels et vous n’avez pas à réaliser d’investissements coûteux en infrastructure ou à l’acquisition.

Gouverner, c’est prévoir : soyez donc prêt à vous adapter à toute situation inattendue !

 

Externalisez vos ressources informatiques dans les infrastructures hautement sécurisées et disponibles de Microsoft AZURE. Pour de plus amples informations, n’hésitez pas à nous contacter.

Source : Enquête internationale du cabinet PWC – Global Economic Crime Survey 2016

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11 octobre 2017