Superviser, c’est anticiper

supervision infrastructure IT

Parce-que les infrastructures informatiques sont de plus en plus complexes et hybrides, parce-que les collaborateurs utilisent au quotidien des applications indispensables à leur activité, parce que les systèmes d’impression sont managés par des équipements en réseau, il est vital pour une entreprise d’anticiper les pannes matérielles, les ralentissements, les surcharges réseau, les pertes de données, etc. Superviser son infrastructure informatique, c’est être en mesure de veiller à son bon état de santé.

A quoi sert la supervision ?

Le système d’information occupe une place centrale et permet d’orchestrer l’activité métier de l’entreprise. Une indisponibilité de celui-ci peut être la cause de plusieurs milliers d’euros de pertes de chiffre d’affaires. Les directions informatiques sont donc tenues de garantir la disponibilité de l’infrastructure informatique et de réduire au minimum la durée d’intervention en cas de panne. La supervision vient soutenir les directions informatiques dans cette tâche en vérifiant en temps réel l’état de l’ensemble des composants du système d’information : réseau, matériels, applicatifs…

La supervision permet :

• d’être immédiatement alerté de tout risque de dysfonctionnement,

• d’identifier les problèmes avant que les utilisateurs ne soient affectés,

• de disposer des informations nécessaires à la correction rapide des incidents,

• d’anticiper les besoins d’évolution des infrastructures informatiques.

Pourquoi investir dans une solution de supervision ?

La supervision 24h/24 de l’infrastructure informatique est rentable à plusieurs égards. Elle promet des gains de temps considérables, facilite la planification des ressources pour les administrateurs et contribue à optimiser les performances du réseau de l’entreprise.

En signalant les erreurs au plus tôt, superviser donne la possibilité d’intervenir rapidement et d’écourter, voire éliminer complètement les temps d’arrêt. Grâce aux analyses de l’état de fonctionnement de l’infrastructure informatique, l’administrateur peut identifier les faiblesses ou pics de consommation et ajuster les ressources en conséquence pour éviter tout ralentissement des processus métier.

Du temps dégagé pour les administrateurs réseau

Puisqu’une solution de supervision permet de détecter automatiquement les dysfonctionnements et les dépassements de seuils, l’administrateur n’a plus besoin de surveiller constamment l’ensemble des composants du réseau, serveurs, postes de travail, applications, trafic, etc. La supervision lui fait ainsi gagner du temps pour qu’il puisse se recentrer sur son métier.

Sécurité renforcée

Il est aisé d’adapter la solution de supervision aux pratiques de sécurité préexistantes (antivirus, pare-feu, etc.) pour renforcer la sécurité de l’entreprise. Vous pourrez éviter les attaques de logiciels malveillants liées à la non mise à jour des applications de cybersécurité et autres programmes ou encore les pertes de données liées à la défaillance de la solution de sauvegarde.

Tranquillité

Le déclenchement d’alertes automatiques et les informations d’état consultables à tout moment permettent à l’administrateur de maintenir l’infrastructure sous observation constante. En outre, l’accès à distance aux informations donne la possibilité à l’administrateur de continuer à gérer le réseau où qu’il soit.

Recherche d’économies

L’investissement réalisé pour l’acquisition d’une solution de supervision est relativement minime compte tenu des gains de temps et de ressources générés. La supervision permet aussi d’éviter les lourdes pertes financières que pourrait occasionner l’identification tardive d’une défaillance.

Certes, une solution de supervision va vous alerter des problèmes mais elle va surtout vous permettre d’anticiper les dysfonctionnements pour garantir la continuité de votre activité. Ce passage d’un mode réactif à un mode proactif vous permet donc de disposer d’une infrastructure informatique fiable et performante, garante de la compétitivité de votre entreprise.

23 février 2017