Comment protéger votre patrimoine numérique ?

sécurisation du patrimoine numérique

Le saviez-vous ? Votre patrimoine numérique représente 70 % de la valeur de votre entreprise. Si nous partons de ce postulat, nous pouvons facilement en déduire que toute activité est désormais dépendante de l’accès aux données numériques. Ce constat est renforcé par la multiplication des risques que peut rencontrer un Système d’Information (SI) : pannes des serveurs, failles humaines, virus, etc.

Dans ce contexte, manager et sécuriser la transformation digitale devient un challenge majeur de l’entreprise. Pour répondre à ce défi, Serians IT Services de Konica Minolta porte votre attention sur les axes de travail à mettre en œuvre pour garantir la sécurité de votre patrimoine numérique sur le long terme.

1. Protéger votre patrimoine numérique du monde digital

40 000 nouveaux virus et failles de sécurité circulent quotidiennement sur le Web. Ces menaces aux proportions considérables ont coûté, en 2014, des milliards de dollars aux entreprises. Les conséquences ? Des pertes et vols de données pouvant être salutaires pour la survie de l’entreprise. Les causes ? La navigation sur le Web, la messagerie instantanée, les outils du Web 2.0 sont autant de failles de sécurité (spam, phishing, malware, bots, etc.) tant pour les postes de vos utilisateurs, que pour leurs smartphones ou encore vos serveurs centralisant vos données critiques.

29% des pertes de données en entreprise sont la conséquence d’un « facteur humain »
La malveillance ne provient pas uniquement d’attaques ciblées de spécialistes du piratage informatique. Elle vient essentiellement d’un manque de connaissance des utilisateurs sur les comportements à risques rencontrés sur le Web, et en dehors.

Les emails d’expéditeurs non identifiés ou encore les clés USB de l’extérieur deviennent alors de potentielles menaces pour l’intégrité de vos données.
Afin de se protéger du phishing, des malwares, et autres menaces il est indispensable de mettre en place une politique de sécurité incluant des solutions professionnelles de sécurisation : antivirus, antispyware, antirootkit, pare-feu, mais aussi une charte de bonnes pratiques de l’utilisation du SI.

2. Abolir le facteur humain

De nombreux systèmes nécessitent encore une intervention coûteuse en temps pour la DSI. Nous pouvons citer, par exemple, les sauvegardes sur bandes ou encore les mises à jour des solutions antivirales. La qualité de ces interventions humaines se doit d’être irréprochable car l’intégrité des données en dépend.

Tout l’enjeu est donc d’optimiser les temps de réaction et la capacité à être à jour pour limiter, voire annuler les risques.

Quelles solutions ?

L’entreprise dispose de plusieurs solutions, toutes complémentaires et à adapter aux besoins en sécurité :

  • Mettre en place des solutions automatisées :
    De nombreux logiciels et services vous permettent d’automatiser de nombreuses tâches telles que la sauvegarde, la réplication ou encore l’application de patch de sécurité. Ces solutions vous permettent de mettre en place des procédures selon votre environnement informatique. Parmi elles, nous pouvons citer des solutions, telles que VEEAM (réplication de Machines Virtuelles), Evault (Sauvegarde des données) ou encore Trend Micro Deep Security (Antivirus pour Hyperviseur).
  • Garantir la continuité d’activité PRA/PCA :
    Vos collaborateurs utilisent et alimentent le SI au quotidien. Le Plan de Reprise d’Activité et le Plan de Continuité d’Activité répertorient un ensemble de procédures permettant de définir les délais, moyens humains et moyens techniques à mettre en œuvre pour optimiser la disponibilité du SI.
  • Devenir Hybride avec le Cloud :
    Le Cloud doit être vu aujourd’hui comme une solution, mais aussi et surtout, comme un panel de services directement liés à votre besoin. En effet, des prestations associées sont intégrées nativement dans le coût d’utilisation au logiciel. C’est le cas de la sauvegarde en ligne, elle vous absout de toute gestion technique de l’infrastructure, et elle vous permet de bénéficier de la restauration des données à la demande.
  • Sensibiliser aux usages à risques :
    La Charte d’utilisation de l’informatique reste un élément indispensable pour sensibiliser vos collaborateurs, quel que soit leur aisance avec l’outil informatique. Elle aura pour effet de les cadrer, de les responsabiliser et préviendra les erreurs et oublis.

L’IT évolue à une cadence phénoménale et les risques associés ne dérogent pas à cette règle. Les procédures et l’automatisation de certaines ressources vous permettront de répondre à ce challenge vital pour votre activité.

19 novembre 2015