Les prestataires éditique voient, depuis ces cinq dernières années, diminuer leurs volumes d’impressions transactionnelles, compte tenu des dépenses importantes que représente l’impression des courriers adressés ; d’où une volonté d’en réduire les coûts et d’ajouter une valeur aux documents de transaction en capitalisant sur le transpromotionnel.
Jusqu’à présent, le transpromotionnel pâtissait d’un manque de maturité de la technologie en matière de procédure, de variabilité à haut niveau, d’adaptation des systèmes d’information pour être réactifs. Désormais, ce frein technologique est en train d’être levé. Le transpromotionnel fait partie des méthodes qui gagnent de plus en plus de terrain pour communiquer auprès des clients finaux et les fidéliser. Les entreprises peuvent rentabiliser l’utilisation des zones blanches d’un document (de type relevés bancaires, factures, bons de livraison, etc.) en y insérant un message marketing (à vocation publicitaire ou promotionnelle). Cette technique vise aussi à réduire le volume des impressions ainsi qu’à limiter la gâche papier et le nombre d’envois.
Afin de répondre à cette nouvelle tendance, Konica Minolta propose une nouvelle approche pour exploiter le potentiel d’activité dans la niche transpromotionnel à plus petit volume. Cette approche permet aux prestataires éditique de monter en gamme sur de plus petits tirages en offrant une qualité de papier, de couleur et de toner supérieure.
« Nous offrons aux prestataires éditique une solution qui leur permet de développer de nouveaux services transpromotionnels très qualitatifs, capables de dégager de nouveaux revenus. Dans cette optique, nous avons tout de suite pris le parti de développer une offre supportant la technologie IPDS Natif pour notamment supprimer tous risques d’erreurs de processus internes pouvant engager la responsabilité du prestataire », souligne Laurent Sudres, Chargé du développement des Solutions Production Printing de Konica Minolta Business Solutions France.