La vidéoprotection : l’allié sécurité de l’hôtellerie de luxe

Vols, dégradations, agressions, risques d’attentats… La protection des clients est primordiale pour l’hôtellerie de luxe. La vidéoprotection est un moyen à la fois de garantir la sécurité des clients, du personnel ainsi que des lieux et a aussi pour effet de rassurer une clientèle exigeante.

Assurer la sécurité sans éveiller l'attention des clients

Les caméras numériques intelligentes MOBOTIX ont la particularité de se fondre dans le décor, et cela même dans des bâtiments de plus de 150 ans, comme l’hôtel Torridon en Ecosse. Petit et léger, le modèle c26 se fait très discret dans un plafond. Il offre une vision à 360°, grâce à la technologie d’image hémisphérique développée par MOBOTIX. Elle permet de couvrir une pièce entière sans angle mort, à l’aide d’une seule caméra. L’hôtelier dispose d’une meilleure vue d’ensemble de la zone avec la possibilité de zoomer sur certains détails. Une fonctionnalité qui permet de détecter, par exemple, un smartphone oublié sur une table au bar ou des objets abandonnés à la bagagerie.

En outre, les systèmes vidéo IoT MOBOTIX utilisent une architecture décentralisée, ce qui garantit qu’aucun serveur n’est requis et que la charge réseau est minimale. Les caméras MOBOTIX traitent et enregistrent elles-mêmes les données d’image, puis déclenchent des événements. Le nombre de caméras nécessaires et les coûts baissent ainsi considérablement.

Dissuader les personnes mal intentionnées

La vidéoprotection a un effet dissuasif important et assure la sécurité du complexe hôtelier dans son ensemble : accueil, restaurant, bar, lobby, terrasses extérieures, etc. Le logiciel de détection de déplacements MxActivitySensor de MOBOTIX permet de faire en sorte que les caméras n’enregistrent les images que si un incident s’est réellement produit. Afin de protéger la vie privée des personnes filmées, les images ne sont récupérées et consultées qu’en cas d’incident. « Nous pouvons analyser plus minutieusement ce qui s’est passé plus tard ou en direct à l’aide des enregistrements vidéo précis », explique Pim Roelnik, directeur technique de l’hôtel Hyatt Place Amsterdam Airport.

Par ailleurs, les caméras numériques haute-résolution MOBOTIX sont capables de lire des plaques d’immatriculation en mouvement pour ainsi mieux contrôler les accès au parking ou aux zones de livraison. Elles sont également utiles pour résoudre des litiges avec le personnel, tels que les irrégularités comme des trous de caisse ou des variations de stocks inhabituelles par exemple.

Garantir un système de vidéoprotection conforme à la réglementation et sécurisé

L’hôtelier a un devoir de sécurité renforcée vis-à-vis de ses clients. Cette obligation couvre aussi ses données personnelles et confidentielles. La vidéoprotection est donc concernée par le RGPD, car les images où figurent des individus identifiables sont des données à caractère personnel.

Pour rappel, le non-respect de la réglementation RGPD peut exposer l’hôtelier à différents types de poursuites* :

• poursuites administratives – mises en œuvre par la CNIL, soit sur plainte d’une victime, d’un salarié, d’une association de consommateurs…, soit lors d’un contrôle.
• poursuites civiles – engagées directement par les victimes qui invoquent un préjudice résultant d’un traitement illégal de leurs données personnelles.
• poursuites pénales – pour infraction à la législation sur la protection des données pouvant aller jusqu’à 5 ans d’emprisonnement et/ou 300 000 € d’amende.

Les systèmes vidéo IoT MOBOTIX garantissent une parfaite conformité avec la réglementation RGPD. De plus, chaque composant a été choisi sur le critère Security by design, c’est-à-dire ayant intégré la notion de sécurité dès leur conception. En outre, le concept cactus de MOBOTIX assure une protection totale et fiable contre les cyberattaques auxquelles sont confrontées l’hôtellerie de luxe. Les systèmes vidéo IoT MOBOTIX comptent ainsi parmi les plus sûrs au monde.

*Source : L’Hôtellerie 4.0 – Tendances du tourisme et de l’hôtellerie 2020 In Extenso Deloitte